Lundi 9 janvier 2012
Petit déjeuner en présence de Coco
Pirogue jusqu’à Misahualli où on aperçoit quelques singes, ils occupent la place du village et , paraît-il, sont d'habiles pickpockets.
On prend le bus et quelques 5 heures plus tard,
on arrive à Quito et on retrouve Antoine ! Il s'est beaucoup ennuyé sans nous
(mouais mouais, en fait, il a regardé plein d'épisodes de "Fringe" ! )
Mardi 10 janvier 2012
Visite du musée Guayasamin, à Quito.
Artiste équatorien, il a peint la misère, l’oppression, la dictature. Ses œuvres (influencées entre autres par Picasso) sont sombres et pessimistes.
site du musée : http://www.capilladelhombre.com/
Après le déjeuner, on va à l’Alliance française, où travaille Amandine. On y rencontre ses collègues et on apprécie le cadre et les bonnes conditions matérielles pour travailler.
Le soir, on joue à Kamelot, il fait un peu frisquet dans le patio de Colonial House
Mercredi 11 janvier 2012
Nous partons à Otavalo, au Nord de Quito.
Dans la rue, un homme accoste Yves et lui demande sa cigarette roulée, croyant que c'est un pétard !
Vue de Colonial House et vue de la rue Olmedo
2 heures de bus, dans lequel, bien sûr, Jésus veille sur nous...
Les maisons ont souvent des terrasses sur le toit, elle servent majoritairement à étendre le linge et non pas à s'affaler sur une chaise longue et boire l'apéro !
Marché d’Otavalo, notre objectif : trouver des beaux cadeaux
Superbes couleurs, admirez !
Le costume local des femmes (chemisiers blancs avec broderies et robes noires)
Notre dernière soirée à Quito
Amandine aux fourneaux et Antoine à l'ordi
(sur la nappe orange du bureau "Jesus te ama" = Jésus t'aime ...)
et la photo-souvenir dans le couloir pour rejoindre celles déjà nombreuses de tous ceux qui sont passés à Colonial House
Jeudi 12 janvier 2012
Départ de l’auberge vers 5h30. Dur, dur de quitter Amandine, Antoine et l'Equateur !!!
Voyage sans problème
une vue de Houston
Après une quinzaine d'heures de vol, on arrive à Roissy vendredi 13 janvier 2012, vers 8h30. Le policier, qui contrôle nos passeports, nous accueille par cette phrase énigmatique
"bienvenue sur Mars".
Malgré notre état de grande fatigue, on se pose des questions :
- on s'est trompé d'avion ?
- " de destination ?
- ou alors on a vraiment l'air déphasé ?
Voilà, encore une belle aventure qui se termine,
ce fut un SUPERBE séjour, inoubliable !
Un grand merci à Amandine et Antoine !!!!
( les magnifiques photos ont été prises par Amandine et Yves)
Pour ceux qui se demandent pourquoi le prénom Yves s'est transformé en Hips, voilà l'explication (non, il n'a pas le hoquet tout le temps) :
- pour les hispanophones, la lettre V se prononce B (à peu près),
Yves, pour eux, c'est imprononçable, on a donc eu différentes prononciations en Bolivie, Pérou, Rép-Dom, comme Ybès, Ibbe, et un jour ce fut Hips, et celui-là nous a bien plu !
bon, on va où la prochaine fois ?