Dimanche 1er janvier 2012
Vues de notre chambre
Journée à Colonial House, il faut bien se remettre du réveillon…
Barbecue dans le jardin (eh oui un barbecue le 1er janvier !)
Lundi 2 janvier 2012
On part (sans Antoine, eh oui on l’abandonne encore le pov' Toine !) en avion pour Cuenca dans le sud du pays (3/4 d’heure de trajet en avion, sinon c’était 14 h de bus)
On survolte un volcan enneigé (le Chimborazo 6300 m), c’est magnifique !
Arrivée à Cuenca dans la matinée : belle ville aux maisons coloniales colorées
devant notre hôtel
A l’office de tourisme, l’employée demande à une touriste d’enlever son gros collier en or.
Il fait très chaud, pourtant les bébés sont emmaillotés dans des grosses couvertures blottis dans les bras de leurs mères.
visite d'une fabrique de chapeaux, les célèbres panamas
Mardi 3 janvier 2012
Départ vers le Parc National de Cajas (L’origine du nom du parc vient ou du quechua « caxas » qui signifie « froid » ou de son apparence produite par son type de géologie, qui forme des « boites » (« cajas ») où l’on trouve des lagunes, à vous de choisir)
la faune locale : la faune pas locale : un gringo mouillé
la flore
Notre balade est écourtée par la pluie, on rejoint donc l’arrêt de bus avec quelques autres gringos, encore plus trempés que nous.
2 bus passent sans s’arrêter (eh oui, les chauffeurs font comme ils veulent, ils peuvent aussi s’arrêter tous les 100 mètres si cela leur chante ou ne pas s’arrêter du tout !)
Quelques tentatives d’auto stop, un pick up s’arrête et embarque 4 jeunes gens. Pour ceux qui restent (une douzaine), notre sauveur sera un conducteur de bétaillère. Le « bétail » (brésilien, allemand, américain et français) monte donc et s’accroche comme il peut aux barres, odeur de fumier, sol détrempé, mais une ambiance d’enfer. Fous rires à chaque virage et conversations tout en prenant garde à bien se tenir ! Quelques dizaines de kms plus loin, on nous libère, le chauffeur gagne au moins une semaine de salaire, grâce à son geste sympa. Un voyage pittoresque et très drôle !
On reprend le bus vers Alausi. Discussions avec 2 petites filles qui demandent d’où on vient, Amandine leur dit de deviner, « de Chine », répondent-elles « parce que vous parlez comme du chinois ! »
Arrivée à Alausi, le soir. Hôtel sympa, on va manger dans un resto typique. Ville avec beaucoup d’indigènes (le mot Indiens étant péjoratif, on dit plutôt Indigènes en Equateur).