10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 20:15

Entre 2 escapades, notre principale occupation a été de pouponner intensivement. Sinon, nous avons peint et poncé, pour préparer la chambre de Monsieur Bébé, Yves a fait du pain et diverses réparations (voiture, plomberie, chauffage, machine à laver, etc...), Antoine a fabriqué un mobile pour son fils, j'ai nettoyé le petit jardin de la terrasse...
Pendant ce temps, Amandine nourrissait le petit ogre à intervalles très rapprochés.

 

Pat et Yves - Quito du 25 juillet au 21août 2014Pat et Yves - Quito du 25 juillet au 21août 2014

Départ le jeudi 21 août. Un voyage d'une trentaine d'heures, via Mexico (5 heures d'escale) et Madrid (5 heures d'escale aussi)
Pas d'escale surprise cette fois : en effet, à l'aller,  au moment d'atterrir à Quito, l'avion a brusquement remonté parce que le brouillard l'empêchait de se poser, nous sommes donc allés jusqu'à Guayaquil, dans le sud du pays, en attendant que la brume se lève. Arrivée à Quito avec 3 heures de retard et l'estomac en vrac pour moi.

Pour clore ce voyage, encore quelques vues de Guapulo.

Pat et Yves - Quito du 25 juillet au 21août 2014
Pat et Yves - Quito du 25 juillet au 21août 2014
Pat et Yves - Quito du 25 juillet au 21août 2014
Pat et Yves - Quito du 25 juillet au 21août 2014
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10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 17:36

Nuit calme, petit déjeuner avec les jeunes. Pendant que je bulle sur le canapé (j'ai réussi à me faire une petite place à côté des chiens, qui se sont poussés à contre coeur !), Yves part faire du cheval dans l'immense paramo.
Définition Larousse : Étage des Andes (en Équateur surtout), au-dessus de 3 200 m, cultivé, mais où la végétation naturelle dominante est une steppe à graminées vivaces, en touffes serrées et hautes.

En image, on comprend mieux !

En image, on comprend mieux !

Remarquez les étriers en forme de sabot, ni pratiques, ni confortables.
Remarquez les étriers en forme de sabot, ni pratiques, ni confortables.Remarquez les étriers en forme de sabot, ni pratiques, ni confortables.

Remarquez les étriers en forme de sabot, ni pratiques, ni confortables.

Pat et Yves au Cotopaxi - 14 et 15 août 2014 (suite)
Pat et Yves au Cotopaxi - 14 et 15 août 2014 (suite)

Yves revient avec le nez et les mains brûlées par le soleil.

Tartinage à la biafine pendant plusieurs jours.
Promenade avec comme guide, un employé de l'hôtel et un touriste australien : on se balade jusqu'à une rivière et des chutes d'eau.

Pat et Yves au Cotopaxi - 14 et 15 août 2014 (suite)Pat et Yves au Cotopaxi - 14 et 15 août 2014 (suite)
Pat et Yves au Cotopaxi - 14 et 15 août 2014 (suite)Pat et Yves au Cotopaxi - 14 et 15 août 2014 (suite)

Encore un coup d'oeil au Cotopaxi, avant de repartir dans l'après-midi.

Pat et Yves au Cotopaxi - 14 et 15 août 2014 (suite)
Pat et Yves au Cotopaxi - 14 et 15 août 2014 (suite)

Au bout du chemin de l'hôtel, la voiture tombe dans une ornière. On met des pierres sous la roue qui ne touche plus le sol, rien à faire. Yves finit par sortir le cric pour lever la voiture, puis enlever le pavé sur lequel repose le bras de suspension et glisser plusieurs grosses pierres sous la roue. On repart, ouf ! Il s'agit de ne pas casser la voiture de location !
On fait le chemin un peu plus vite que la veille, parce que ça descend. Un chien nous attaque et reste devant la voiture à aboyer comme un fou, mais il se pousse avant qu'on ne l'écrase. Quand on rejoint la route bitumée de Machachi, quel soulagement !

Retour à Quito dans la soirée.

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9 septembre 2014 2 09 /09 /septembre /2014 19:41

Nous repartons de Quilotoa en début d'après-midi. Jusqu'à Machachi, la route qui ressemble à une autoroute est impeccable. Arrivés dans cette ville, nous bifurquons vers le Parc national du Cotopaxi. Commence un chemin pavé, à peine carrossable, et c'est là qu'on regrette de ne pas avoir loué un 4X4. La galère : il faut éviter les ornières, les pavés sortis du pavement, les branches, les chiens qui se jettent sur la voiture en aboyant. Heureusement que Yves maîtrise aussi bien le volant que les feux de cheminées. Cela nous paraît interminable, on met plus de 2 heures à rejoindre notre hôtel, qui, lui-même, est au bout d'un chemin encore plus délabré.
Petite consolation : on peut admirer sur le chemin le magnifique Cotopaxi. Le Cotopaxi est un volcan de 5900 m d'altitude, et recouvert de neiges éternelles à partir de 4900 m. La dernière grosse éruption date de 1877. Qu'il se tienne donc tranquille encore quelques jours !

Pat et Yves au Cotopaxi - 14 et 15 août 2014

Notre hôtel Secret Garden est au milieu de nulle part, tous les bungalows ont une vue sur le Cotopaxi, un poêle à bois et...pas d'électricité, mais c'est un choix des propriétaires. On arrive donc dans notre chambre par un chemin éclairé à l'électricité, mais à l'intérieur, la bougie est de rigueur.
La salle commune est magnifique avec une grande cheminée, des canapés occupés par ...3 chiens (ceux-là, ils n'ont pas la vie de chien équatorien). Les autres clients sont exclusivement des jeunes (Allemands, Anglais).

Vue de notre chambreVue de notre chambre

Vue de notre chambre

Voilà quelques photos de l'auberge :

Pat et Yves au Cotopaxi - 14 et 15 août 2014Pat et Yves au Cotopaxi - 14 et 15 août 2014
Pat et Yves au Cotopaxi - 14 et 15 août 2014Pat et Yves au Cotopaxi - 14 et 15 août 2014

et de l'environnement

Pat et Yves au Cotopaxi - 14 et 15 août 2014Pat et Yves au Cotopaxi - 14 et 15 août 2014
Pat et Yves au Cotopaxi - 14 et 15 août 2014
Pat et Yves au Cotopaxi - 14 et 15 août 2014
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7 septembre 2014 7 07 /09 /septembre /2014 13:33

Matin du 14 août : nous partons de l'hôtel vers la lagune. Toujours le vent glacial (altitude 3900 m), mais un superbe ciel bleu, alors qu'hier, c'était couvert, nous a dit notre commensal italien pendant le repas du soir.
5 minutes à pied plus tard : voilà le spectacle grandiose qu'on a sous les yeux !

 

 

Pat et Yves - Lagune du Quilotoa - 14 août 2014

Cette lagune se trouve à 3500 mètres d'altitude au fond d'un ancien cratère volcanique. Elle a un diamètre de 3,15 km et 440 mètres la séparent du bord du cratère.
Donc, on descend ces quelques 400 mètres à pied, le sentier est partiellement aménagé. La descente prend un peu plus d'une demi-heure, on s'arrête souvent, juste pour admirer !

 

 

Pat et Yves - Lagune du Quilotoa - 14 août 2014
Pat et Yves - Lagune du Quilotoa - 14 août 2014

En bas, on fait une plus grande pause, il y a moins de vent, il fait presque chaud. On aperçoit des Indiens qui descendent le sentier avec des chevaux. Dix dollars (7.50 euros) pour remonter à cheval. Allez, on va quand même essayer de remonter à pied : beaucoup de pauses (ça monte très raide et on est quand même à plus de 3500 m) pour reprendre son souffle et pour s'en prendre plein les mirettes. On atteint le haut du cratère une heure et demie plus tard et je dois dire qu'on est assez fiers de nous. On a été doublés par des chevaux transportant des touristes beaucoup plus jeunes que nous ! :-)

 

 

Pat et Yves - Lagune du Quilotoa - 14 août 2014
Pat et Yves - Lagune du Quilotoa - 14 août 2014
Pat et Yves - Lagune du Quilotoa - 14 août 2014

Arrivés en haut du cratère, une bonne soupe chaude et roborative dans un resto.

Quelle balade éblouissante !

Direction le Cotopaxi

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6 septembre 2014 6 06 /09 /septembre /2014 14:42

2ème escapade de notre séjour. Nous louons une voiture et nous dirigeons vers le sud de Quito. Route en très bon état, un genre d'autoroute, très très large, dont certaines portions sont encore en travaux. Quand je dis un genre d'autoroute, c'est parce que ce mot n'a pas le même sens qu'en France : ici, on marche sur les bas côtés, on traverse, on y fait du vélo, on s'arrête sur le terre-plein central, on roule où on veut, on double de tous les côtés...
Arrêt déjeuner dans un centre commercial à Latacunga, puis on attaque une route de montagne, récente et bien sécurisée.

 

 

Pat et Yves - Lagune du Quilotoa - 13 août 2014

Arrêt sur le bord de la route pour admirer le canyon du rio Toachi. Le vent est glacial.
Un groupe d'enfants indiens réclame des cadeaux. Ils acceptent de se faire photographier et rient de se voir sur l'appareil photo.

Pat et Yves - Lagune du Quilotoa - 13 août 2014Pat et Yves - Lagune du Quilotoa - 13 août 2014
Pat et Yves - Lagune du Quilotoa - 13 août 2014

Arrivée à Quilotoa : c'est un village indien à 3900 m d'altitude. Nous prenons une chambre dans un hôtel à l'entrée du village, rien que des gringos dans cet hôtel. Nous dînons avec un couple d'Italiens, deux jeunes Anglais et une jeune fille de Hong Kong. Repas international où on baragouine en espagnol et en anglais, sauf avec l'Italien et un des Anglais, qui parlent parfaitement le français.
Des masques indiens ornent une des tables.

Il fait très froid dans la chambre, Yves s'occupe du feu. C'est son boulot !

Pat et Yves - Lagune du Quilotoa - 13 août 2014Pat et Yves - Lagune du Quilotoa - 13 août 2014
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4 septembre 2014 4 04 /09 /septembre /2014 17:19

Guapulo, le quartier où habitent Amandine et Antoine, a un petit côté village dans la ville que Didier Tronchet (dessinateur BD) a très bien décrit dans son livre "Vertiges de Quito".
Ça monte et ça descend raide, les belles maisons côtoient les baraques faites de bric et de broc. Les rues sont plus ou moins bitumées, souvent pavées, et certaines portions sont quasiment impraticables en voitures. Mais en Équateur, le 4X4 est roi et c'est plus utile qu'à Lille ou Paris !

Vue de l'appartement

Vue de l'appartement

Après le tremblement de terre, le 13 août (on en a eu 2 au cours de notre séjour), la poussière envahit tout, à cause des roches qui sont tombées dans le canyon.
 

Pat et Yves à Guapulo (quartier de Quito), juillet-août 2014

Vu de l'appartement, le monastère franciscain, à côté duquel s'est déclaré un incendie, le 14 août.
Sur la place
se dresse la statue du conquistador, Francisco de Orellana, découvreur du fleuve Amazone, mais surtout grand massacreur d'Indiens !

Pat et Yves à Guapulo (quartier de Quito), juillet-août 2014
Pat et Yves à Guapulo (quartier de Quito), juillet-août 2014

Voilà la vue d'en bas, sur l'appartement d'Amandine et d'Antoine, c'est le petit bâtiment rouge au milieu.

Pat et Yves à Guapulo (quartier de Quito), juillet-août 2014
Pat et Yves à Guapulo (quartier de Quito), juillet-août 2014

Tiens, un 59 perdu à Guapulo !

Pat et Yves à Guapulo (quartier de Quito), juillet-août 2014

Encore une petite vue de l'appartement, le soir avec la lune.
Une calamité en Equateur, en Amérique du Sud en général : les chiens, plus ou moins sauvages, plus ou moins errants. Maltraités, mal nourris, ils aboient jour ET nuit. Dans la rue, ils vagabondent, souvent menaçants ; ils attaquent même les voitures qui passent. Mais il y a aussi des chiens à sa mémère avec des petits manteaux coquets :-)

Pat et Yves à Guapulo (quartier de Quito), juillet-août 2014
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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 20:37

Le 7 août, lever vers 8 heures,
puis petit déjeuner copieux.

On se dirige vers les thermes, quelques centaines de mètres plus haut. Brouillard et froid.
Matinée dans les différentes piscines d'eau très chaude, pas besoin de mettre de crème solaire, parce que le brouillard persiste, et on sent bien le froid quand on change de bassin.
Un bon moment de détente !
Dans l'après-midi,
massage pendant presque une heure. Waouhh !
Retour en bus, avec un chauffeur prudent et calme et la Vierge bienveillante...
Pat et Yves à Papallacta (Equateur)- 6 et 7 août 2014 (suite)
Pat et Yves à Papallacta (Equateur)- 6 et 7 août 2014 (suite)Pat et Yves à Papallacta (Equateur)- 6 et 7 août 2014 (suite)
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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 18:32
Revoilà les grands voyageurs : Yves et Patricia reviennent en Équateur pour le grand évènement de l'année, la naissance de leur 1er petit-enfant.
Pour se remettre de nos émotions (eh oui ! devenir Papy et Mamy, quelle aventure émouvante, extraordinaire, unique !) , nous partons 2 jours aux thermes de Papallacta : ce sont des sources chaudes entre 2 volcans, le Cayambe et l'Antisana. Trajet en bus, conduit par un chauffeur, pas vraiment prudent, mais bon, on est en Amérique du Sud et on est protégés par la Vierge qui nous regarde avec bienveillance depuis l'avant du bus... Les paysages sont magnifiques.
On a réservé une chambre dans un petit hôtel le Pampallacta, accueil sympathique. Au dîner, de la truite, la spécialité du coin.
Notre chambre bénéficie d'une cheminée (leña para el fuego, petit clin d’œil à Benjamin) - il vaut mieux, nous sommes à 3500 m d'altitude et les nuits sont froides - et d'un grand bain dans lequel un employé fait couler de l'eau chaude qui sort naturellement à plus de 40°.
Pat et Yves à Papallacta (Equateur)- 6 et 7 août 2014
Pat et Yves à Papallacta (Equateur)- 6 et 7 août 2014Pat et Yves à Papallacta (Equateur)- 6 et 7 août 2014
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10 février 2012 5 10 /02 /février /2012 16:53

Lundi 9 janvier 2012

 

 

Petit déjeuner en présence de Coco

 

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Pirogue jusqu’à Misahualli où on aperçoit quelques singes, ils occupent la place du village et , paraît-il, sont d'habiles pickpockets.Equateur-dec2011-janv2012-2-0585.JPG

 

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On prend le bus et quelques 5 heures plus tard,

on arrive à Quito et on retrouve Antoine ! Il s'est beaucoup ennuyé sans nous

(mouais mouais, en fait, il a regardé plein d'épisodes de "Fringe" ! )

 

 

Mardi 10 janvier 2012

 

Visite du musée Guayasamin, à Quito.
Artiste équatorien, il a peint la misère, l’oppression, la dictature. Ses œuvres (influencées entre autres par Picasso) sont sombres et pessimistes.

site du musée : http://www.capilladelhombre.com/  

 

 

 

 

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Après le déjeuner, on va à l’Alliance française, où travaille Amandine. On y rencontre ses collègues et on apprécie le cadre et les bonnes conditions matérielles pour travailler.

 

 

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Le soir, on joue à Kamelot, il fait un peu frisquet dans le patio de Colonial House

 

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Mercredi 11 janvier 2012

 

Nous partons à Otavalo, au Nord de Quito.

Dans la rue, un homme accoste Yves et lui demande sa cigarette roulée, croyant que c'est un pétard !

 

Vue de Colonial House                           et vue de la rue Olmedo


 

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2 heures de bus, dans lequel, bien sûr, Jésus veille sur nous...

 

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Les maisons ont souvent des terrasses sur le toit, elle servent majoritairement à étendre le linge et non pas à s'affaler sur une chaise longue et boire l'apéro !

 

Marché d’Otavalo, notre objectif : trouver des beaux cadeaux

Superbes couleurs, admirez !

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Le costume local des femmes (chemisiers blancs avec broderies et robes noires)

 

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Notre dernière soirée à Quito

Amandine aux fourneaux et Antoine à l'ordi

(sur la nappe orange du bureau "Jesus te ama" = Jésus t'aime ...)

 

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et la photo-souvenir dans le couloir pour rejoindre celles déjà nombreuses de tous ceux qui sont passés à Colonial House

 

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Jeudi 12 janvier 2012

 

Départ de l’auberge vers 5h30. Dur, dur de quitter Amandine, Antoine et l'Equateur !!!

 

 

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Voyage sans problème


une vue de Houston

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Après une quinzaine d'heures de vol, on arrive à Roissy vendredi 13 janvier 2012, vers 8h30. Le policier, qui contrôle nos passeports, nous accueille par cette phrase énigmatique

"bienvenue sur Mars".

Malgré notre état de grande fatigue, on se pose des questions :

  - on s'est trompé d'avion ?

  -            "                de destination ?

  - ou alors on a vraiment l'air déphasé ?

 

Voilà, encore une belle aventure qui se termine,

ce fut un SUPERBE séjour, inoubliable !

Un grand merci à Amandine et Antoine !!!!

 

( les magnifiques photos ont été prises par Amandine et Yves)

 

Pour ceux qui se demandent pourquoi le prénom Yves s'est transformé en Hips, voilà l'explication (non, il n'a pas le hoquet tout le temps) :

 -  pour les hispanophones, la lettre V se prononce B (à peu près),  

Yves, pour eux, c'est imprononçable, on a donc eu différentes prononciations en Bolivie, Pérou, Rép-Dom, comme  Ybès, Ibbe, et un jour ce fut  Hips, et celui-là nous a bien plu !

 

bon, on va où la prochaine fois ?

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7 février 2012 2 07 /02 /février /2012 18:49

Dimanche 8 janvier 2012

 

Nuit paisible, aucune bête dans nos lits....

Au fait, il pleut ....malgré le concert de grenouilles de la veille...(hum, hum...Joël Collado sur France Inter est quand même meilleur pour la météo, non ?!)

 

Quelques photos de notre environnement

 

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                                                                                              un bon et consistant petit déjeuner

                                                                                      avant de repartir

 

 

 

Désolée, les arachnophobes, mais voilà encore vos bêtes noires. J'y peux rien, il y en a partout ici ! mais promis, après celles-là, vous serez tranquilles !

 

Equateur-dec2011-janv2012-2-0454.JPG   Equateur-dec2011-janv2012-2 0439

 

                                                         HLM d'araignées

 

Equateur-dec2011-janv2012-2-0432.JPG    Equateur-dec2011-janv2012-2 0452

 

 

Départ sous la pluie, on reprend notre pirogue. Du fleuve, on aperçoit des grands singes dans les arbres.

 

 

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On débarque, pour visiter une réserve d’animaux blessés (AmaZOOnico). Pluie diluvienne et guide très mignon ( désolée, les filles, pas de photos !)
Singes, caïmans, ocelots, perroquets…qui, une fois soignés, sont remis en liberté. Certains ont un peu de mal à réintégrer la vie sauvage et reviennent même dans la réserve.

  Equateur-dec2011-janv2012-2-0485.JPG    Equateur-dec2011-janv2012-2-0490.JPG

 

Cet oiseau ci-dessous, recueilli tout petit, suit tous les groupe de gens, persuadé d’être avec les siens. C'est ce qu'on appelle un animal "imprégné" : il a intégré l'image parentale de l'espèce qui l'a élevé. Il nous accompagne donc tout au long de la visite, et quand nous partons, il suit un nouveau groupe de visiteurs.

 

 

Equateur-dec2011-janv2012-2-0484.JPG az_rechts_03.jpg

Grâce à la pluie, on peut voir un ocelot (quand il fait beau, il se balade dans les arbres et il est donc invisible).

C’est un "Vulgubru", mais en plus gros (pour ceux qui ignorent qui est Vulgubru - ils sont rares - c'est le chat de Benjamin)        

   

On repart (en pirogue bien sûr) complètement trempés, vers le déjeuner, menu typique, avec set de table végétal et assiette végétale, mais  le coca dans des gobelets en plastique au milieu de la table, c'était vraiment le gros bémol….  

 

 

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Le dialogue qui suit nous a fait hurler de rire, Amandine et moi, mais sorti du contexte, il se peut que cela vous laisse de marbre

Je situe la scène : pendant le repas, on avait à nos pieds chiens, poules et poulets

Yves dit : "tiens, j'ai un poulet à mes pieds"

Pat répond : "moi, c'est un chien"

Yves comprend "non, c'est un chien" et répond, sincèrement perplexe

"ah c'est marrant, ça ressemble à un poulet, pourtant !" tout en regardant plus attentivement le dit poulet.

Voilà, Amandine et moi en avons ri pendant des jours, rien qu'à se rappeler le ton vraiment indécis d'Yves, ébranlé dans ses certitudes !


On profite de ce repas pour fêter les 22 ans de Maïka

 

Equateur-dec2011-janv2012-2-0497.JPG  

 

Puis visite du musée Sacha Samay pour découvrir les pièges de chasse et de pêche utilisés par les Indiens.

Equateur-dec2011-janv2012-2 0502    Equateur-dec2011-janv2012-2-0505.JPG  Equateur-dec2011-janv2012-2-0501.JPG

 

 

Yves et Amandine sur le sentier de la guerre

 

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Puis tout le monde se met en maillot de bain (sauf moi, étonnant, non ?!) et tubing sur le Napo : il s'agit de descendre le fleuve sur une chambre à air de roue de camion et de se laisser entraîner par le courant !

Depuis la pirogue, je filme et photographie les exploits aquatiques de mes compagnons de voyage. Ils s'amusent comme des fous ! et le soleil est revenu (grâce au concert des grenouilles, sûrement !)


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Après une bonne demi-heure de tubing, tout le monde rembarque, les peintures de guerre (extraites d'une plante) d'Amandine se sont bien étalées (elle aura du mal à enlever tout ça !)

 

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On remonte le fleuve, sur lequel flottent des branches et des gros troncs d'arbre. La navigation est plus difficile qu'à l'aller, les tourbillons et les remous sont impressionnants.

 

Equateur-dec2011-janv2012-2-0569.JPG  Equateur-dec2011-janv2012-2-0578.JPG

 

On rentre en fin d'après-midi à la communauté. Repas et jeux de cartes à la bougie et retour vers nos chambres, où nous attendent placidement deux belles tarentules sur les parois extérieures en bambou (non pas de photos, il faisait nuit  et pas d'électricité !)

Nuit calme, moustiquaires (très) bien fermées.

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